Blog Webmarketing, E-commerce et Referencement par Olivier Douard

jeudi, novembre 23, 2006

Interview Thomas Romieu et Nicolas Mirail (Microsoft France)

emarketing microsoft france

Thomas Romieu, Directeur Marketing de MSN et Windows Live pour Microsoft France ainsi que Nicolas Mirail, Chef de produit Internet Explorer 7 ont eu la gentillesse de répondre à mes questions. L’occasion de parler de la stratégie multi-canal de Microsoft et du marché des navigateurs Internet.


Olivier Douard : Bonjour
Thomas et merci beaucoup de répondre à mes questions. Parlons tout d'abord du récent partenariat entre Microsoft et l'émission de Cauet sur TF1. Quel est le but de ce sponsoring? L'audience relativement jeune de cette émission est-elle la cible prioritaire d'MSN?

Thomas Romieu : Bonjour , nous cherchons à faire découvrir notre nouveau moteur Live.com par le grand public et en particulier les jeunes. Nous pensons que les nombreuses innovations de Live.com (recherche d’images, personnalisation, intégration avec Windows Live Messenger …) sont particulièrement intéressantes pour les jeunes internautes. Nous menons en parallèle des campagnes de communication sur le portail MSN et sur Windows Live Messenger.


OD :
Lors de la dernière Convention e-commerce en septembre dernier, tu avais lors de ton intervention sur Adcenter (la solution de liens sponsorisés d'MSN) beaucoup parler de multi-canal. En quoi Adcenter misera sur le multi-canal et quel retour qualitatif espérer du côté des annonceurs?

TR : AdCenter est la plate-forme publicitaire nouvelle génération de Microsoft. Elle permet aujourd’hui de gérer les campagnes de liens sponsorisés du moteur de recherches Live.com. Mais notre objectif est d’aller au-delà et de nous appuyer sur adCenter pour gérer l’ensemble des supports publicitaires proposés par la régie Microsoft. En effet, nous avons annoncé début octobre la création d’une nouvelle régie publicitaire, Microsoft Digital Advertising Solutions qui proposera aux annonceurs, dès la fin de l’année 2006, l’accès à un nombre de supports élargi au sein du Microsoft, comme Office Online (l’extension en ligne des logiciels Microsoft Office) et Xbox Live (le service de jeu en ligne Xbox). Point d’entrée unique pour les annonceurs, Microsoft Digital Advertising Solutions donne accès à une audience étendue de 465 millions d’utilisateurs uniques du portail MSN et des services Windows Live dans le monde (dont 14 millions en France) ainsi qu’à plusieurs autres millions de fans de la Xbox ou d’utilisateurs d’Office Online.


OD : Nicolas, la bataille des navigateurs Web bat son plein! Internet Explorer 7 et Firefox 2 sortent au cours de la même période. IE7 s'offre une véritable seconde jeunesse quand Firefox mise sur la continuité. Comment s’est construit le projet Internet Explorer 7 et quel est l'objectif de Microsoft avec IE7 : ralentir la montée en puissance de Firefox ou reprendre les parts de marché perdues ces derniers mois?

Nicolas Mirail : Au sujet de la période de sortie, IE7 était prévu de très longue date de par son intégration à Windows Vista dont le développement s'est terminé peu après IE7. En ce qui concerne du projet, nous avons essayé de faire table rase de l'existant et de se poser les bonnes questions. Nous avions conscience qu’Internet Explorer 6 était devenu obsolète vis à vis du Web d'aujourd'hui. IE6 datait d'octobre 2001... Avant IE6, une nouvelle version d'Internet Explorer sortait chaque année. Entre 2001 et aujourd'hui, le Web a énormément changé, à la fois dans le bon avec une économie fleurissante et dans le mauvais avec l'apparition de nouvelles menaces comme le phishing, les spywares... Notre logiciel n'était tout simplement plus adapté. Suite à ce constat, le Service Pack 2 nous a pris beaucoup de temps de développement, ce qui a naturellement repoussé la sortie d'IE7.

Pour en revenir aux parts de marché, je dirais que la concurrence, comme c'est le cas généralement, nous a fait du bien. Que ce soit Mozilla ou Opera, la concurrence empêche de se reposer sur ses acquis. Nous avons ainsi pu nous rendre compte que les onglets ou encore l'intégration des flux RSS dans le navigateur étaient de vraies demandes du marché d'aujourd'hui. Nous avons perdu assez peu de parts de marché puisque nous sommes toujours au dessus des 80% pour la plupart des pays dans le monde. La montée en puissance de Mozilla a surtout fait mal aux "petits" navigateurs en réduisant la course à 2 acteurs majeurs que sont Internet Explorer et Mozilla Firefox auxquels il est possible d'ajouter Opera.

Notre stratégie se construit autour d'une question simple: Pourquoi un navigateur serait-il en dehors du système d'exploitation? Nous ne souhaitions pas faire un navigateur pour faire un navigateur mais bel et bien créer un outil qui s'intègre dans l'expérience utilisateur. C'est pourquoi Internet Explorer 7 sera fortement lié au système d'exploitation Windows Vista afin de faciliter la protection de l'ordinateur ou la mise en place du système de contrôle parental. A nos yeux, de plus en plus, un navigateur n'est rien tout seul, il faut l'entourer de fonctionnalités de plus en plus abouties.


OD : Penses-tu possible qu’un nouvel acteur puisse venir s'implanter sur le marché des navigateurs en Europe et notamment en France?

NM : Ne jamais dire jamais bien entendu mais il ne faut pas oublier qu'il y a une importante communauté derrière Mozilla. Un tel succès est difficile à reproduire. Il faut plus qu'une simple base technique pour créer un navigateur, il faut un réel support, des outils de développement et d'amélioration... Je pense pour être clair qu'il n'y aura pas de nouvel acteur majeur sur le marché mais bel et bien des phénomènes. Le Web ne cesse d'évoluer et certains services deviennent très populaires en à peine quelques mois. Imaginons par exemple que Youtube signe un partenariat exclusif avec un navigateur... Des phénomènes de ce genre pourraient venir bousculer les parts de marché. Je crois beaucoup à la notion d'innovation et le Web est un monde virtuel qui apprécie les phénomènes de mode donc tout peut aller très vite. Internet Explorer peut lui s'appuyer sur le fait qu'il soit devenu une vraie marque, reconnue et identifiable. Une base pour faciliter un renouvellement permanent.

D'un point de vue nouveautés, qui sait quelle sera la stratégie de Google au sujet des navigateurs? Nous surveillons de près les mouvements sur le marché notamment de la part de Google qui a une stratégie orientée Web quand Microsoft a une stratégie axé utilisateur. Globalement, nous sommes plus à l'écoute du marché qu'il y a quelques années. Des leçons ont été tirées du retard accumulé technologiquement par IE6. C'est la première fois par exemple que nous lançons une version Bêta de notre navigateur afin d'avoir un vrai retour utilisateur. Nous avons pris en compte les remontées d'informations utilisateurs pour améliorer notre produit et aujourd'hui, les retours sont de plus en plus positifs.


OD : Enfin, parlons de Live.com, à la fois outil de recherche et page personnalisée. Alors qu'MSN faisait partie des précurseurs en la matière, Netvibes s'est imposé comme leader sur ce marché en très fort développement. MSN semble beaucoup miser sur sa page personnalisée en développant notamment son rapport avec les utilisateurs via des concours de développement de gadgets. Comment vois-tu l'évolution de ce marché et comment penses-tu possible la rentabilité de ce genre de service?

TR : Live.com est effectivement bien plus qu’une page personnalisable. C’est également un moteur de recherches utilisé par plus de 4 millions d’internautes français par mois. Les gadgets sont effectivement un des éléments que l’on peut ajouter à sa page personnelle Live.com. Notre stratégie est de favoriser le développement de ce type d’applications par les internautes ou des professionnels, qui les mettent gratuitement à disposition de la communauté. Nous APIs sont publiques et déjà plusieurs centaines de gadgets sont disponibles sur le site www.gallery.live.com. De manière générale, le modèle économique de nos services repose à 100% sur la publicité, qu’elle soit sous forme de bannières ou de liens sponsorisés comme c’est le cas sur le moteur de recherches Live.com.

OD : Merci beaucoup Thomas et Nicolas et à bientôt !

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jeudi, novembre 16, 2006

Eco-participation le premier bilan

Pour recadrer le sujet, l'éco-participation est une nouvelle "taxe" touchant les produits générant des déchets dits D3E (déchets d'équipements électriques et éléctroniques) et permettant la création d'une filière de collecte et de traitement de produits générant ces D3E (récapitulatif relativement complet des produits concernés ainsi que le coût par familles de produits sur le site de 20minutes). Baptisé éco-participation et en vigueur depuis le 15 novembre 2006, ce nouveau coût sera désormais directement affiché aux côtés du prix du produit et ajouté au prix final. Le but de la manoeuvre étant louable puisqu'il s'agit de faire prendre conscience aux consommateurs de la production exponentielle de D3E.

Reste que cette fameuse éco-participation pose les plus grands soucis aux sites e-commerce. Il est surement trop tôt pour dresser un bilan correct de la mise en place de cette initiative mais certains soucis commencent à apparaître. Ainsi, si certains sites comme la Fnac, les 3suisses, La Redoute, Pixmania ou encore Discounteo (à lire le blog de Daniel Broche, directeur de Discounteo qui décrit l'adaptation de son site à l'éco-participation) sont au rendez-vous, de nombreux sites (et non les moindres) semblent avoir été pris par le temps. C'est le cas notamment de Cdiscount, Boostore, Grosbill ou Rueducommerce... De même pour la majorité (totalité?) des comparateurs de prix pour qui l'éco-participation représente un problème épineux. Ces derniers devront en effet adapter leur interface mais aussi et surtout récupérer l'information de la part de chacun de leurs e-marchands... Une jolie pagaille à prévoir! Il est vrai, pour prendre la défense de ces mauvais élèves, que les e-marchands et comparateurs de prix souhaitent à cette période se concentrer pleinement sur les prochaines fêtes de fin d'année. La date de mise en application de l'éco-participation est en cela discutable. De plus, certains e-commercants souhaitent attendre que la situation se clarifie totalement avant de basculer leur système. Certains produits ont effectivement encore une éco-participation mystère dont le montant reste inconnu... "Tout sera finalisé d'ici quelques jours" rassure Michel Fernandez le coordinateur du projet D3E au journal le Figaro.

Pour en revenir à la mise en avant par les sites e-commerce de cette éco-participation, l'adapation de la Redoute est intéressante avec le montant de la contribution écologique non signifiée sur les listes de fiches produits. Si ce prix indiqué "hors éco-participation" se révèle acceptable aux yeux de la filière, cette méthode séduira surement de nombreux e-commercants par une plus grande facilité de mise en place. Globalement, il n'y a pas de grandes surprises ni d'adaptations douteuses pour le moment, les sites e-commerce au rendez-vous sont restés sages. Cela sera-t-il le cas des retardataires?

Edit (01-12-2006) : Les comparateurs de prix ont visiblement fait le choix de ne pas signifier le montant de l'éco-participation. Ainsi, ils récupèrent chez les marchands le prix total (dont éco-participation) et se contentent de les comparer. J'aurais pourtant parié sur un système simple avec le montant de l'éco-participation indiqué une seule fois et en haut de page (puisqu'il est égal pour tous les marchands comparés). Nous y viendrons peut être dans quelques temps. Par ailleurs, toute abréviation se révèle être interdite. La Fnac (avec son éco-part), MaisMoinsCher (et son éco-taxe), La boutique du net (ecotaxe) et bien d'autres devront ainsi revoir leur dénomination. Au rayon des adaptations douteuses, Amazon se contente de préciser sur ses fiches produits "Nos prix incluent l'éco-taxe sur tous les produits concernés" avec un lien expliquant le principe de l'éco-participation. Enfin, toujours rien de mis en place du côté de Cdiscount et Rueducommerce.

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lundi, novembre 06, 2006

Interview Frederic Jan (Brosseadomicile)

article emarketing frederic jan

Entrepreneur passionné, Frédéric Jan a lancé cette année Brosseadomicile.com qui permet aux internautes de s’abonner à leur brosse à dent. Frédéric a eu la gentillesse de répondre à mes questions sur la création et le développement de brosseadomicile.

Olivier Douard : Salut Frédéric, brosseadomicile.com est sorti en mai dernier et permet de s'abonner à sa brosse à dents en recevant de manière régulière une brosse à dents toute neuve. Je crois savoir que cela fait 2 ans que tu travailles au lancement du site, peux-tu nous raconter comment brosseadomicile a pris forme?

Frederic Jan : Salut Olivier ! Voilà en effet 6 mois que j’ai lancé le concept brosseadomicile, l’abonnement à sa brosse à dents. En tant qu’entrepreneur dans les nouvelles technologies depuis 8 ans (j’ai créé ma première société, la web agency Net-Conception.com, en 1999), je suis en perpétuelle veille sur tout ce qui peut se faire et se dire sur Internet. C’est ainsi qu’il y a 3 ans, j’ai découvert un site Suisse (Blacksocks.com) qui proposait une innovation : l’abonnement à ses chaussettes. J’ai trouvé l’idée assez originale. Et quelques jours après, j’ai lu dans un magazine économique une étude sur la problématique de santé bucco-dentaire en France. En gros, les Français ne changeaient pas assez souvent de brosses à dents : 1.5 brosses par an au lieu de 4 fois par an, comme le recommandent les dentistes. Et le soir même, comme cela m’arrive souvent quand j’essaie désespérément de dormir (!), une idée m’est venue en tête : pourquoi ne pas proposer un système d’abonnement à sa brosse à dents, comme ça, on n’oublierait plus d’en changer.

Bien sur, je n’ai plus dormi de la nuit et ça cogitait beaucoup. Le lendemain, j’ai fait des recherches sur Internet pour voir si cela n’existait pas, et je n’ai rien trouvé. Ayant déjà une entreprise et du personnel à gérer, j’ai pris le temps pour mettre sur le papier cette idée. Ensuite, j’ai déposé un dossier au concours DéfiJeunes du Ministère de la Jeunesse et des Sports et j’ai gagné un prix. Cela m’a permis de valider l’idée, avec bien sur l’appui d’une étude de marché. Ensuite, j’ai été invité par le Président de la République à la Garden Party, un très bon souvenir. Il fallait maintenant trouver les partenaires, créer le site, trouver une solution de paiement sécurisé, penser à la gestion des stocks et des approvisionnements, à la préparation des commandes, et à toute la communication autour du concept. Bref, pas mal de boulot quand on est tout seul à imaginer tout cela, mais quand c’est en vous, cela est plus facile !


OD : Brosseadomicile s'appuie sur des partenariats forts, aussi bien du côté des fabricants (Signal, Colgate...) que des dentistes. Comment avoir réussi à convaincre ces différents partenaires et quelle est leur importance pour Brosseadomicile?

FJ : La recherche de partenaires a en effet été l’une des premières tâches accomplies, et pas la plus facile. On aurait pu lancer le site avec des marques « premiers prix » provenant de Chine ou de Tunisie mais touchant à un domaine lié à la santé, nous avons voulu que les internautes retrouvent des marques connues. Il ne fallait pas déstabiliser les habitudes, déjà qu’on leur proposait un nouveau service via une idée très originale.

La crédibilité de brosseadomicile.com était liée à ces partenariats.

Il a donc fallu identifier tous les fabricants et surtout trouver les bons contacts au sein de ces multinationales de plusieurs milliers de salariés (pas si simple qu’on pourrait le croire, après expérience). J’ai ensuite rencontré ces responsables du marché bucco-dentaire pour leur exposer le concept et les intérêts pour leur activité. Il a fallu être très convainquant car ils ne traitent en général qu’avec des centrales d’achats de grandes surfaces. Apparemment mon exposé les a séduits puisqu’assez rapidement, nous nous sommes entendus sur un partenariat précis, et très poussé avec certaines marques. Aujourd’hui, on compte les plus grandes marques représentées sur le site : Bioseptyl, Colgate, OralB, Signal et prochainement Elmex… D’un autre côté, nous avons voulu nous rapprocher des dentistes, en contactant différents organismes qui les regroupent. Les dentistes sont en effet des prescripteurs importants en matière de santé bucco-dentaire. Ils ont en tout cas témoigné à de très nombreuses reprises leur intérêt pour notre concept, avec de beaux messages de soutien et d’encouragement. Certaines choses ont déjà été mises en place mais le plus gros devrait arriver dans les prochaines semaines, mais chut !


OD : Brosseadomicile possède son propre blog, le « Blog à dents ». Le blog pour un site e-commerce: réel outil de communication ou simple gadget?

FJ : Etant assez au fait des évolutions en matière de nouvelles technologies, je suivais depuis pas mal de temps tout ce qui se faisait autour des blogs. J’étais moi-même un lecteur assidu de plusieurs blogs, plutôt orientés marketing ou création d’entreprises. J’y ai appris beaucoup de choses intéressantes, et surtout un partage d’expérience enrichissant. C’est donc tout naturellement qu’au lancement de brosseadomicile, j’ai décidé d’y associer un blog d’entreprise,avec en plus un petit jeu de mot autour de la brosse à dents : « le blog à dents ».

L’idée est de parler du concept, de la vie de la société (retombées médias, nouvelles idées, éventuels problèmes, etc.). Le but est d’humaniser un peu le site en montrant que derrière brosseadomicile, il y a un jeune entrepreneur motivé qui fait tout son possible pour développer ses idées. C’est aussi un moyen de partager avec les autres l’aventure de la création d’entreprise, et c’est très important. Si avec mon blog, je peux motiver des personnes qui ont des idées mais qui n’osent pas se lancer, ce sera gagné ! Donc pour répondre à ta question : je dirais que le blog sert à appuyer la crédibilité du site de e-commerce, en montrant toutes les facettes du lancement du concept et les évolutions et succès qu’il connaît et connaîtra. Ce n’est donc en rien un gadget.


OD : Brosseadomicile compte s'attaquer au marché anglais avant la fin de l’année. Pourquoi avoir choisi en priorité l’Angleterre et envisagez-vous l'expansion à d'autres pays?

FJ : Le succès de brosseadomicile.com en France est la preuve que le concept repose sur une réelle réponse à un besoin. Par ailleurs, les retombées médiatiques ont été énormes. Nous nous sommes donc dit que ce qui marchait en France pourrait marcher ailleurs. Cependant, nous ne voulons pas nous lancer la tête la première dans un développement international sans bien y réfléchir. Nous sommes dans un marché où chaque pays a ses propres marques. Se pose aussi le problème des frais de port, il faut donc avoir une implantation dans le pays pour avoir les meilleurs tarifs postaux.

Nous avons donc décidé de lancer le concept en Angleterre pour plusieurs raisons : la rencontre (via le blog) avec un français vivant là-bas sur qui on va pouvoir s’appuyer, la proximité avec la France, la langue et le pays que je connais bien (j’ai étudié en Angleterre au cours de ma formation en management). Les partenariats avec les marques du pays sont finalisés (certaines sont les mêmes mais chaque filiale gère son marché domestique !). Nous nous sommes aussi constitués un fichier média très important pour faire connaître le concept dans le pays, aussi bien qu’en France nous l’espérons J En ce qui concerne les autres pays, nous nous lancerons en début d’année 2007 sur les Etats-Unis, et dans tous les pays limitrophes de la France : Espagne, Italie, Allemagne, etc.


OD : Merci beaucoup Frédéric Jan et souhaitons à Brosseadomicile un excellent développement!

FJ : Merci Olivier pour cette interview et n’oubliez pas de tous vous abonner à votre brosse à dents, c’est bon pour votre santé et pour celle de brosseadomicile.com! ;-)

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